- Le nom : Nebisfet
- Le prénom : Malear (nom d'emprunt)
- L'age : 48 ans
- La taille : 1m80
- Le poids : 98 kg
- Le grade choisi (survivant, militaire, politicien) rayez les mentions inutiles.
- L'histoire (courte biographie) :
Alors que j'étais en campagne pour me faire élire au sénat mon car s'est arrété prêt de la petite ville de newhope. Mes hommes ont monté un petit campement et nous avons commencé à établir des plans pour le déroulement de la campagne du lendemain.
Quelques heures plus tard la clairière était plongée dans l'obscuritée quand nous entendîmes des bruits de branches cassées et d'herbe foulée. L'un de mes gardes sortit voir. Il ne revint jamais. nous pûmes juste entendre des cris et des sons de lutte. Faisant preuve de courage nous fermâmes la porte du camping-car qui nous servait de base d'opération.
Au bout de quelques minutes des corps vinrent percuter l'extérieur du véhicule. Par le parebrise nous vîmes des traits distordus par la haine. Leurs yeux rouge donnaient à leurs visages un air de profonde folie. Dans l'espace exigu il n'y avais que moi, les deux gardes du corps qui restaient et mon assistant. Les autres membres de mon équipe étaient dans les autres véhicules. Soit enfermés comme moi soit morts.
Par chance j'avais insisté pour que mes gardes soient toujours armés. Aussi sortirent ils leurs armes. Par le parebrise nous vîmes une foule de gens toujours aussi déterminés à entrer. Peut importe qui ils étaient si pour sortir il fallait les tuer qu'il en soit ainsi. J'étais entrain de calculer nos chances de nous frayer un passage lorsque mon assistant pris la parole
- Pourquoi ne nous servons nous pas du camping car pour nous enfuir?
L'évidence même. Je me maudit intérieurement de n'y avoir pensé plus tôt. L'assistant s'assis à la place du conducteur et mis le contact. Mais il eût beau tenter de reculer le véhicule ne bougea pas.
- Ils doivent bloquer le passage, dit il.
Instantanément la situation redevint plus claire. Il me sembla plus simple de m'en sortir. Il me parut possible de le faire pour être plus honnète.
- Allez sur le toit et tirez dans le tas à l'arrière pour nous libérer un chemin, dis je à mes gardes du corps.
Entrainés comme ils étaient il y parvinrent. Mais l'une des roues heurta une racine à demi-enfouie et fit choir au sol mes acolytes. C'était une perte déplorable mais je n'avais pas l'oportunité de m'arréter pour tenter de les sauver. Mon assistant et moi rejoignâmes la route et prîmes la direction de Newhope.